“Entre Pékin et Washington, Macron joue l’ambiguïté stratégique”
Le président fondateur de l’Institut français des relations internationales (Ifri), Thierry de Montbrial, analyse la complexité du positionnement français dans la confrontation entre États-Unis et Chine. Une posture diplomatique commandée à la fois par les enjeux économiques et les systèmes d’alliances qui engagent aussi nos partenaires européens. Lire la suite sur le blog
Loi de programmation et forces morales.
Extrait : « Depuis la fin de la guerre froide et l’interruption du service militaire, les jeunes générations ont perdu le sens du sacrifice en perdant le sens de la Nation ; exceptés ceux qui s’engagent et qui se sacrifient avec l’abnégation que l’on sait, et qui peut aller jusqu’au sacrifice suprême, et l’individualisme à pris le pas sur le collectif. »
Un enfant obéissant (serait) un enfant qui va mal ?
Dans son livre « Porter un regard bien-traitant sur l’enfant et sur soi », Arnaud Deroo dénonce le culte de l’obéissance qui consiste à avoir des enfants qui obéissent au doigt et à l’oeil, se taisent, ne bougent pas, sont « sages »… bref, sont de parfaits petits soldats…
Cette description fait froid dans le dos quand nous y songeons car un enfant qui se comporterait de la sorte, se soumettant aux désirs de ses parents ou d’autres adultes, sans rechigner serait en danger…
Picasso, cette autre icône de la gauche qui s’effondre. Enfin !
Faites entrer le (nouvel) accusé : Pablo Picasso. Il est d’usage, à droite, de porter un regard critique sur le mouvement MeToo. Ce nouveau puritanisme est pourtant intéressant, car comme tout retour de balancier, il est « réactionnaire » : une réaction à la grande fête du slip de Mai 68, ce coup de maître du patriarcat qui a fait croire aux femmes – ces naïves oies blanches – qu’il ferait tomber leurs chaînes, quand il les a, in fine, roulées bien serrées dans une ficelle à rôti, offerte à ses appétits comme une dinde de Noël. Patrick Buisson l’explique très bien dans son dernier livre Décadanse.