Posté le 12 août 2019 – By Dimitri Casali
Tout fiche le camp. Même notre Histoire. //RO

Quelle honte, mais quelle honte ! Le 15 août prochain nous aurions dû célébrer les 250 ans d’un de nos plus grands héros : Napoléon Bonaparte mais le silence assourdissant des autorités de l’État à l’approche des célébrations nous rappelle que nous sommes en France, pays où la lâcheté politique est érigée en règle de gouvernance. Aucune autre nation au monde ne sacrifie autant sa propre Histoire, au nom de la repentance, du politiquement correct.
Pourtant, le président de la République Georges Pompidou en 1969 avait su, lui, faire les choses en grand et célébrer comme ce doit le Français le plus populaire au monde… Le 15 août 1969, Pompidou, s’était déplacé à Ajaccio et osait déclarer : « Napoléon a atteint aux cimes de la grandeur et en a comblé la France, au point que depuis, notre peuple ne s’est jamais résigné à la médiocrité et a toujours répondu à l’appel de l’honneur ». Sa conclusion était magnifique : « Il suffira d’ailleurs de rester fidèles aux ultimes recommandations adressées par Napoléon au peuple français et qui se trouvent au bas de l’acte d’abdication signé le 22 juin 1815 au palais de l’Élysée : « Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une Nation indépendante ». Notre président Emmanuel Macron aurait été inspiré de suivre les précieux conseils de son illustre prédécesseur mais il n’en a n’a ni le courage, ni d’ailleurs la grande culture historique. Comme à son habitude par souci de clientélisme électoral, le président a peur de se mettre à dos la multitude d’associations communautaires type : CRAN, CCIF, PIR, SOS Racisme et Christiane Taubira, pour qui Napoléon est le parangon de l’esclavage et du colonialisme. Bref, nous sombrons en pleine honte nationale et les autres pays se rient de nous.