Réseau International, le 02 février 2016
Se soumettre aux diktats de Bruxelles ou croupir en prison. Voilà l’avenir qui nous attend. //RO
Aucune personne bien informée ne peut contester le fait que notre monde se trouve dans une situation critique très dangereuse. Mais au lieu d’avouer ses erreurs et de les corriger, la caste politique nous présente ses « sales coups » comme un progrès. En cela, elle fait fi des principes qui résultent de décennies et de siècles d’expériences douloureuses.
Par exemple en ce qui concerne la liberté d’expression, le principe d’auto¬détermination des peuples, la neutralité de l’Autriche ou bien l’interdiction fixée dans le droit international à tout Etat d’intervenir dans les affaires d’un autre Etat. Au vu de la situation critique et menaçante on nous dit aujourd’hui que ces principes ne peuvent pas être considérés de façon aussi absolue ; cela éveille notre attention. Des principes et des règlements ne sont valables que tant qu’ils servent aux objectifs des gouvernements et des tireurs de ficelles.
Et maintenant une loi de l’UE assortie de décrets d’application incroyables devrait encore nous empêcher de nommer les « sales coups » par leur nom. Cette loi devrait nous être présentée comme « promotion de la tolérance » et « protection des minorités ». Mais quelle minorité devrait être protégée en réalité ? Faites-vous une idée par vous-même avec ce qui suit.