Le 25 septembre 2019
Greta Thunberg… le mieux pour nous et pour son plus grand bien, c’est de ne plus en parler. Vous connaissez « les chiens aboient, la caravane passe ». Alors, par les temps qui courent et ne voulant pas prendre le risque d’être livré à la vindicte populaire pour avoir comparé la poupée maléfique à un chien, voici ma libre adaptation de ce dicton : « la femme gueule, l’homme continue de pisser ». //RO
Titre original du billet de Olivier Piacentini : Libère-toi Greta !
À voir Greta à l’ONU, le réchauffement atteint une telle ampleur que l’urgence en deviendrait quasi immédiate. Ça chauffe, ça chauffe, au point de lui arracher sanglots, diatribes, implorations, suppliques et harangues enfiévrées. Je trouve pour ma part que, bien plus que le climat, c’est la santé de cette jeune fille qui se dégrade à grande vitesse.