Au Mali, une guerre contre le terrorisme ou face à une insurrection?
« La ministre des Armées, Florence Parly, est en visite au Sahel en pleine polémique sur les conséquences d’une frappe française début janvier ».
Ceux qui accusent l’Armée française
Un an après le sommet de Pau de janvier 2020, les chefs d’Etat de Mauritanie, Mali, Niger, Tchad et Burkina Faso se concerteront les 15 et 16 février lors d’un sommet à N’Djaména, avec le président français Macron. Celui-ci a annoncée 19 janvier, que la France s’apprêtait à ajuster son effort au Sahel.
Pourquoi la France ne doit pas se retirer du Mali
OPINION. Le sommet du G5 Sahel, qui se déroulera les lundi 15 et mardi 16 février, en visio-conférence, est un rendez-vous décisif pour l’avenir de l’opération militaire Barkhane lancée il y a huit ans. Alors que l’opinion publique semble se retourner, que l’extrême-gauche et l’extrême-droite demandent la fin de cette opération et que l’exécutif peine à concevoir un projet convaincant, comment peut-on résumer la situation et quelles propositions raisonnables formuler ?
Au Sahel, la France en difficulté aussi sur la « guerre informationnelle »
Il y a l’action et la communication, le bien faire et le bien dire. Au Sahel, où la France est engagée militairement depuis 2013, se joue aussi une bataille informationnelle dont l’issue lui est actuellement plutôt défavorable.