Publié le 16 décembre 2021
J’ai pour ma part, l’intime conviction que 2022 sera, pour le monde en général et pour la France en particulier, l’année de tous les dangers. J’anticipe déjà qu’elle sera une fois de plus, pour nous, pour la France, l’année de l’impuissance, de la victoire des forces centrifuges, qui mène inexorablement au déclin. Une nation gravement divisée ne peut pas survivre dans un monde de brutes. Je vous invite vivement à une lecture intégrale de ce texte. La lune c’est le texte. L’auteur c’est le doigt. Ne faites pas l’idiot. //RO
Puisque le calendrier nous y invite, risquons-nous à des pronostics pour les douze mois à venir.
A priori, 2022 devrait être une année très difficile. En le sachant, en l’anticipant, on peut éviter qu’elle le soit.
Il est assez aisé d’établir un scenario du pire : une pandémie qui échappe aux vaccins, un effondrement des marchés financiers, des foyers de guerre jusqu’aux frontières de l’Europe, de grands pays comme l’Ethiopie qui se disloquent, des attentats, des mouvements extrémistes contradictoires, réclamant les uns qu’on efface toute trace des valeurs passées de l’Occident dans la mémoire du monde, et les autres au contraire qu’on y refuse toute influence étrangère. Tout cela est possible. Tout cela aura lieu.
Face à cela, le principal risque pour cette année, partout dans le monde, est une perte de contrôle des gouvernements, des entreprises, de chacun de nous, et plus généralement de l’humanité, sur le cours des choses. Avec des conséquences évidemment terrifiantes.