DE GRÉGORY ROOSE – ON 20 JUILLET 2019 – METAPOLITIX
Cette censure est devenue insupportable mais, bien qu’affecté, à l’instar de Grégory Roose, nous n’avons pas le genou au sol car nous disposons d’autres vecteurs de diffusion. Depuis que Facebook s’est acoquiné avec notre cher Jupiter, la liberté d’expression est morte. Dont acte. //RO

Depuis quelques jours déjà, mon application Facebook faisait anormalement vibrer mon téléphone portable de ces notifications impétueuses et autoritaires qui ne présagent rien de bon.
Il ne s’agissait ni de « j’aime », ni de « partage » d’un quelconque influenceur qui eut rendu virale l’une de mes publications, mais d’un message, puis d’autres, m’avertissant que j’avais enfreint les « standards de la communauté » Facebook. Foutu mot que celui de « communauté ». Ce réseau social n’est rien d’autre qu’un outil, au demeurant très pratique, permettant de partager avec d’autres humains, le plus souvent connus de loin ou de très loin, des informations autour d’un centre d’intérêt commun. De quoi s’agissait-il ? A vrai dire, toujours de la même chose. D’abord une suppression, puis deux puis trois…de la même publication qui appelait poliment et simplement à signer une pétition en faveur de Tommy Robinson, militant anglais condamné à de la prison ferme pour avoir filmé « illégalement » les accusés d’un gang de violeurs pakistanais de petites filles blanches.
J’ai eu beau lire et relire cette publication, je n’y ai honnêtement rien trouvé de légalement ou moralement répréhensible.