Géopolitique

Trump et l’annexion de la France : Une vision du « Make France Great Again »

Par Régis Ollivier – Le 05 février 2025

 

 

Illustration ChatGPT

 

La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre sur l’Hexagone : après des mois de tractations secrètes, Donald Trump vient d’annoncer l’annexion de la France aux États-Unis. Finis les déboires budgétaires, les grèves à répétition et les débats sans fin sur l’identité nationale : la République cède la place à la French State of America (FSA).

Macron ? Rétrogradé au rang de simple gouverneur. L’Assemblée nationale ? Dissoute. La baguette ? Inscrite dans la Constitution comme bien culturel protégé.

Dès le premier jour, Joe Biden, totalement dépassé, n’a rien vu venir. Le Congrès américain, subjugué par l’idée de récupérer la France (et surtout ses vins, ses fromages et son chic légendaire), a validé l’opération sans broncher. La CIA aurait discrètement placé des conseillers dans les ministères français pour préparer la transition, sous prétexte d’un partenariat renforcé contre le terrorisme.

Premières mesures du nouveau régime :

•    La Tour Eiffel repeinte en rouge, blanc et bleu (USA style), avec en haut un immense « TRUMP TOWER PARIS » clignotant.

•    Le Sénat transformé en French Congress, où les élus doivent prêter serment sur la Constitution américaine.

•    Les CRS remplacés par la Garde nationale américaine, histoire de voir si les manifestants français résistent mieux aux tasers qu’aux lacrymos.

•    Les retraites alignées sur le modèle US : bosse jusqu’à 70 ans, ou gagne au loto.

•    L’école publique devient facultative, sauf pour apprendre à tirer et à remplir une déclaration d’impôts.

•    La baguette devient un “Freedom Bread”, pour éviter toute connotation gauchisante.

•    Les impôts sont remplacés par une flat tax à l’américaine : 15% pour tout le monde, sauf pour ceux qui ont des avocats fiscalistes.

Plus toutes les mesures déjà prises par décrets par Donald Trump, il va sans dire.

Réactions de la classe politique française :

Macron (ex-président, devenu gouverneur de la FSA) : « Je prends acte de cette décision historique. En tant que Gouverneur, je continuerai à lutter pour une France progressiste, inclusive et alignée sur les valeurs démocratiques américaines, mais surtout sur Wall Street. »

Mélenchon : « C’est un coup d’État orchestré par l’Empire américain ! J’appelle à la résistance, camarades ! Prenons les armes… mais sans violence. »

Marine Le Pen : « Si c’est Trump qui nous annexe, alors pourquoi pas ? Cela évite le problème de l’Union européenne. »

Édouard Philippe : « J’espère que nous conserverons un système de rasage adapté à nos nouvelles institutions. »

Les syndicats : « La CGT dépose immédiatement un préavis de grève illimité contre la suppression des 35 heures. »

Les Français s’adaptent… à leur manière.

Les premiers jours sont un choc. Les Parisiens tentent de commander des croissants en dollars avant de comprendre que tout le monde doit payer en carte de crédit. Les premiers McDonald’s rebaptisés « McBistrot » apparaissent dans le Marais, avec des burgers au camembert. Les Marseillais, eux, ne comprennent toujours pas comment Trump a pu annexer la France sans passer par l’OM, ce qui suscite de vives tensions sur le Vieux-Port.

De leur côté, les Américains découvrent avec horreur les grèves SNCF, la paperasse administrative et les débats sans fin sur l’écriture inclusive.

Trump, lui, prévient déjà qu’il compte annexer la Belgique et Monaco dans la foulée, parce que « c’est petit et ça ne fera pas de vagues ».

Conclusion : fallait-il en arriver là ?

Le grand remplacement a eu lieu… mais ce n’était pas celui qu’on attendait. Ce ne sont pas les Français qui ont été remplacés, mais leur République elle-même. Adieu Marianne, bonjour Lady Liberty sur la Place de la Concorde. Adieu Vive la France !, bonjour God Bless America !.

Le pire ? Tout le monde finit par s’y faire, surtout quand les impôts locaux disparaissent et que les Champs-Élysées deviennent une zone duty-free. Comme quoi, finalement, peut-être que Trump avait raison : la France méritait d’être grande à nouveau.

Quelques jours plus tard cependant, le choc est total : le camembert au lait cru est banni des étals, sous prétexte de normes sanitaires américaines trop strictes. La panique s’installe. Des caves clandestines de fromagers voient le jour en Normandie, où des résistants cachent des meules entières sous des ballots de foin pour échapper aux contrôles de la FDA (Food and Drug Administration). Un mouvement de contestation émerge sous le slogan « FREE THE CAMEMBERT ! », porté par une armée de gastronomes en révolte. Michel-Édouard Leclerc tente un dernier coup de poker en lançant une version aseptisée du camembert pasteurisé rebaptisé “Freedom Cheese”, mais c’est un échec total.

Donald Trump, lui, tweet : « Camembert ? Terrible smell. Disgusting ! We only do good American cheese here. MAGA ! »

L’affaire menace de dégénérer en crise diplomatique, jusqu’à ce que les Américains réalisent que le vin rouge n’a plus aucun sens sans camembert. Finalement, après des mois de lutte, le Congrès finit par réintroduire le camembert sous le statut d’« exception culturelle », à condition qu’il soit vendu dans des emballages hermétiques anti-odeurs.

Mots clés : USA – Trump – France – Annexion – Camembert

 

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Exit Biden, Welcome Trumsk : un sévère avertissement dans l’antichambre de la tempête

Par Régis Ollivier – Le 19 janvier 2025

Illustration chatgpt

Le rideau est tombé. Joe Biden a livré son ultime discours, un testament politique empreint de gravité, presque crépusculaire. Une allocution qui, sous des dehors de bilan apaisé, ressemble davantage à une lettre d’adieu, adressée non pas aux citoyens, mais à une démocratie américaine qu’il semble déjà condamner. Le vieux président a passé le flambeau – ou plutôt l’a laissé vaciller dans une tempête qu’il anticipe, sans pouvoir l’empêcher.

Mais que retenir de cet adieu ? Une mise en garde. Sombre, très sombre. « Aujourd’hui, une oligarchie prend forme en Amérique », a-t-il averti, dénonçant la concentration du pouvoir entre les mains d’une poignée d’ultrariches et le danger qu’incarne ce qu’il nomme le « tech industrial complex ». Une menace existentielle, selon lui, pour la démocratie américaine et, par ricochet, pour l’équilibre mondial.

Il y a quelque chose de tragique dans cet aveu. Joe Biden, en quatre ans de mandat, a gouverné en spectateur plus qu’en acteur des transformations qu’il condamne aujourd’hui. Derrière les mots, un sentiment d’impuissance. Mais était-il réellement puissant ? Alors, que restera-t-il de ses années à la Maison-Blanche ? Une économie qui, certes, a tenu bon malgré les crises, mais aussi des plaies béantes qu’il n’a su refermer. En réalité, Biden nous prévient : « Après moi, le déluge ».

L’ombre de Trumsk : un binôme inquiétant

Dans ce contexte, l’arrivée de Donald Trump au pouvoir, soutenu par Elon Musk, sonne comme un coup de tonnerre. Trump, le tribun populiste, et Musk, l’homme qui rêve de coloniser Mars tout en remodelant la Terre à sa guise. Ce duo, que je surnommerai « Trumsk », symbolise l’alliance de deux forces redoutables : le populisme politique et l’hypercapitalisme technologique. Une combinaison explosive pour une démocratie déjà fragilisée.

Biden a raison de dénoncer la « dark money », cet argent opaque qui alimente les campagnes électorales et pervertit le système. Quand Elon Musk investit 250 millions de dollars pour influencer le Congrès, peut-on encore parler d’un gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ? Le pouvoir se concentre. Les contre-pouvoirs s’effacent. L’Amérique glisse vers une oligarchie. Et avec elle, le reste du monde.

Une prémonition en orbite : l’explosion d’une fusée

Laissez-moi digresser. Lors de l’explosion récente d’une fusée d’Elon Musk, un symbole s’est imposé dans mon esprit. Cette explosion en vol, ce projet qui visait les étoiles mais s’est brisé en mille morceaux, m’a frappé de plein fouet, comme une prémonition. Une mise en garde contre la course effrénée de ces milliardaires qui pensent pouvoir tout contrôler, tout conquérir, mais qui, dans leur arrogance, ignorent les limites du réel.

Ce n’est pas seulement une fusée qui a explosé. C’est l’image d’un progrès devenu fou, déconnecté des besoins humains et des équilibres planétaires. Une métaphore, peut-être, de l’avenir qui nous attend si nous continuons à laisser ces figures omnipotentes redessiner notre monde à leur image.

Dans la tempête, une question : et maintenant ?

Biden conclut en appelant les Américains à « protéger la flamme ». Mais quelle flamme ? Celle d’une démocratie vacillante ou celle d’un empire qui s’effondre sous le poids de ses propres contradictions ? Le constat est sombre, mais l’inquiétude ne suffit pas. Il faudra agir.

Pourtant, face à « Trumsk » et à ce que ce binôme représente, que peut faire le citoyen lambda ? La question reste ouverte. Mais elle mérite d’être posée, ici, sur La Brise et la Tempête. Car si le monde est une mer agitée, il revient à chacun de tenir la barre. Et dans cette navigation incertaine, une chose est sûre : il n’y a pas de pilote automatique.

Sur un texte original de l’auteur – Mention IA

#Etats-Unis #DonaldTrump #JoeBiden #ElonMusk

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Trump et Musk : le duo improbable qui fait trembler le monde

Par Régis Ollivier, “La Brise et la Tempête” – Le 10 janvier 2025

Illustration ChatGPT pour lecolonel.net

Trump et Musk. Deux noms qui, à eux seuls, suscitent autant d’admiration que de crainte. Ils n’ont rien de la carpe et du lapin, encore moins de Laurel et Hardy, bien que leurs excentricités respectives puissent prêter à sourire. Mais ne nous y trompons pas : derrière leurs actes et leurs déclarations se cachent des ambitions bien plus redoutables.

L’un agit par vengeance, l’autre par ambition démesurée. Ensemble, ils pourraient devenir les maîtres d’un monde qu’ils bousculent déjà.

Trump : la revanche personnifiée

Donald Trump, l’ancien président des États-Unis, n’a jamais vraiment quitté la scène. Il reste une figure polarisante, incarnant à lui seul l’esprit de revanche. Ses discours populistes et ses coups d’éclat médiatiques donnent l’impression d’un éléphant dans un magasin de porcelaine : brutaux, impulsifs, mais terriblement efficaces.

Ce qui l’anime ? Une volonté farouche de régler ses comptes. Avec ses adversaires politiques, les médias, et même le système qu’il accuse d’avoir conspiré contre lui. Sa spontanéité n’est pas un hasard : elle est une arme, qui séduit autant qu’elle effraie. Trump est un symbole du chaos, et il en fait un levier de pouvoir.

Musk : l’ambition sans limites

À ses côtés, Elon Musk. Innovateur de génie, visionnaire… et imprévisible. Si Trump est un éléphant, Musk serait plutôt un Faucon Millenium prêt à bondir vers des territoires inconnus. Coloniser Mars, révolutionner les transports, transformer l’intelligence artificielle : Musk voit loin, très loin. Mais son ambition démesurée inquiète, car elle semble détachée des considérations éthiques ou humaines. Ses tweets impulsifs, ses provocations sur les marchés financiers ou ses prises de position politiques montrent qu’il agit souvent comme un joueur, plutôt qu’un stratège.

Un duo explosif

Trump et Musk, c’est le chaos allié à l’innovation. Leur spontanéité fait d’eux des figures redoutées. Trump mobilise des foules par les émotions ; Musk redéfinit les règles du jeu économique et technologique. L’un surfe sur la colère, l’autre sur la fascination. Et si leurs forces convergent, ils pourraient bien surpasser les institutions traditionnelles.

En poussant le trait, ils incarnent une nouvelle forme de pouvoir : celle où les égos, les réseaux et les technologies surpassent les États. Mais leur force est aussi leur faiblesse : leur imprévisibilité. Comme dans le duo Dr. Jekyll et M. Hyde, ce qui séduit peut aussi détruire.

Maîtres du monde ou illusion passagère ?

Reste une question fondamentale : jusqu’où peuvent-ils aller ? S’ils devenaient les “maîtres du monde”, ce serait par leur capacité à s’imposer en dehors des cadres établis, à jouer sur les peurs et les rêves d’un monde désorienté. Mais leur ascension interroge aussi sur nous-mêmes : sommes-nous prêts à confier les clés de l’avenir à des personnalités aussi déconcertantes ?

Le monde tremble, oui. Et à juste titre. Mais derrière les figures spectaculaires que sont Trump et Musk se cache un miroir. Celui d’une époque où le pouvoir ne repose plus sur les institutions, mais sur l’influence, la disruption et une spontanéité parfois terrifiante.

Alors, Dr. Jekyll et M. Hyde, ou Laurel et Hardy. Quelle est votre opinion sur ce sujet ? 

Sur un texte original de l’auteur 

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Ukraine : clap de fin difficile…

19 décembre 2024 – Par Pierre Duriot

La paix en Ukraine n’en finit plus d’être reportée, alors que la bataille est perdue pour Zélinsky et l’OTAN, ce qui n’est plus un secret pour personne. Mais non, la bande à Biden continue de jeter de l’huile sur le feu, tétanisée par la perspective de l’investiture de Trump et de ce qu’il pourrait trouver sur place et en fouillant dans les tiroirs. Alors cette équipe machiavélique et faiseuse de désordre a eu une dernière idée pour pousser Poutine à la faute et le décider à employer l’arme nucléaire, seule option qui permettrait de justifier de l’état de guerre et de rester au pouvoir, et encore.

L’Occident a enfreint les lois tacites de la guerre, qui veulent qu’on ne touche pas aux plus hauts dirigeants, en faisant assassiner le général Igor Kirillov. Car tout le monde a bien compris que l’expédition n’aurait pas été possible pour les services secrets ukrainiens, sans la logistique occidentale. Cette manœuvre désespérée pour déclencher le feu nucléaire de la part de Poutine, est évidemment vouée à l’échec. Il a bien d’autres ressorts pour répliquer, dans le cadre d’un conflit classique. Il peut prendre pour cible, lui aussi, une personnalité occidentale dans une base installée en Ukraine. Il peut aussi prendre directement Zélensky pour cible. Il peut encore rayer de la carte les infrastructures énergétiques, de communication ou de transport, dans toute l’Ukraine, ce qui plongera le pays dans le moyen-âge pour des années et générera un flot de réfugiés difficilement assimilable pour l’Europe.

Avec cet assassinat, l’Occident qui aurait pu espérer une paix équitable avec Poutine, se prive des cartes du dialogue. Zélensky veut des troupes au sol pour garantir la sécurité de son pays après la signature d’un accord de paix, l’OTAN ne les a pas et personne, à part Macron, hélas, n’a envie de se coltiner cette tâche. Il va donc falloir faire confiance à Poutine et en lui tuant ses généraux, c’est mal parti. Tout cela repose sur le fantasme d’un Poutine désireux de…

lire la suite sur… https://lnkd.in/e_bz3X2x

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • Régis Ollivier
  • Lieutenant-colonel (TDM-ER). 43 années de service dont 25 ans au sein de la DGSE. 
  • Géopolitique et Relations Internationales. 
  • Candidat à la présidentielle 2022.
  • Né zèbre. Les zèbres sont des êtres d’exception.
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L’irrésistible déclin de la France sur la scène internationale : un constat amer

18 décembre 2024 – Régis Ollivier

Autrefois incontournable sur la scène mondiale, la France semble aujourd’hui s’engager dans une descente préoccupante. Ce déclin, particulièrement visible en Afrique, dépasse largement les frontières du Sahel pour toucher l’ensemble des domaines où elle exerçait son influence.

Au Tchad, pays clé des enjeux géopolitiques africains, l’autorité française autrefois respectée a vacillé. Exit Paris. Les acteurs locaux et régionaux, autrefois fidèles à Paris, se tournent désormais vers de nouvelles puissances : la Chine, la Russie ou encore les États-Unis. Pendant que ces nations renforcent leur présence, la France, engluée dans ses débats internes, peine à redéfinir sa stratégie sur le continent.

Ce recul dépasse le simple prisme africain. Il reflète une perte plus profonde de crédibilité. Les attentes des populations locales, avides d’émancipation et de souveraineté, se heurtent aux stigmates d’une présence jugée trop paternaliste, parfois accusée de néocolonialisme. Là où la France entendait promouvoir des valeurs démocratiques et le développement, elle est désormais perçue comme une force intrusive, en décalage avec les aspirations des peuples.

Ce désaveu, toutefois, ne s’arrête pas à l’Afrique. Il s’inscrit dans une tendance mondiale de remise en question du rôle de la France, affaiblie diplomatiquement, économiquement et militairement. En Europe, le Brexit, les tensions internes à l’Union et la montée des nationalismes réorganisent le jeu géopolitique. Sur la scène globale, l’essor de puissances comme la Chine ou l’Inde redessine les équilibres au détriment des anciennes puissances occidentales.

Sur le plan économique, la situation est tout aussi préoccupante. Face à des concurrents dynamiques et innovants, l’Hexagone peine à maintenir sa compétitivité. Les politiques économiques, souvent jugées trop conservatrices ou court-termistes, freinent l’investissement dans les secteurs stratégiques de demain. Conséquence : un exode massif des talents vers des horizons jugés plus prometteurs.

Même l’image culturelle et symbolique de la France, longtemps source de fierté, se fragilise. Les crises sociales, les divisions identitaires et les tensions sur des sujets comme la laïcité entachent le rayonnement de ses valeurs. Ce qui se voulait un modèle démocratique et universel apparaît de plus en plus fracturé, affaiblissant son attractivité.

Ce déclin n’est pourtant pas une fatalité. Il pourrait devenir une opportunité de transformation profonde. Pour cela, la France doit abandonner une posture paternaliste et investir dans des partenariats fondés sur l’écoute et le respect mutuel. Sur la scène internationale, il ne s’agit plus de donner des leçons, mais de construire des alliances sincères et équilibrées.

Cependant, encore faut-il que la France trouve les hommes et les femmes politiques capables de mener ce chantier d’envergure. L’impérative refondation du pays exige une vision forte, un courage à toute épreuve et une volonté de rupture avec les pratiques du passé. Sans leadership éclairé, cette renaissance restera lettre morte, et la France continuera de s’enliser dans un monde où les places se gagnent à la force de la stratégie et de l’audace.

  • Régis Ollivier
  • Lieutenant-colonel (TDM-ER). 43 années de service dont 25 ans au sein de la DGSE.
  • Géopolitique et Relations Internationales.
  • Candidat à la présidentielle 2022.
  • Né zèbre. Les zèbres sont des êtres d’exception.

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