Armées

Situation sécuritaire en Europe à la veille d’octobre 2025

Illustration lecolonel.net

Contexte général

Depuis l’invasion de l’Ukraine en février 2022, l’Europe est confrontée à une « guerre hybride » menée par la Russie. Outre la guerre terrestre, Moscou utilise des drones, des avions de chasse, des cyberattaques et des actes de sabotage pour tester les défenses des États membres de l’OTAN et de l’UE. Après plusieurs mois de guerre d’usure en Ukraine, ces provocations ont atteint un paroxysme en septembre 2025. Les chefs d’État européens et les principaux alliés ont averti que la situation sur le théâtre européen n’était plus une simple guerre par procuration : la sécurité du continent est directement menacée.

Cette analyse réalisée par ChatGPT sur un prompt de Régis Ollivier fournit les faits récents. Elle présente les réactions des acteurs européens et transatlantiques. Elle met en évidence la dimension militaire, politique et économique de la crise. Des bruits de bottes aux bruits de drones, il n’y a qu’un pas.

Chronologie des incidents récents

Les provocations se sont multipliées durant le mois de septembre 2025 :

  • 10 septembre 2025 – Incursion massive de drones russes en Pologne : environ 19 drones ont violé l’espace aérien polonais. Ils ont été abattus avec l’aide d’avions de l’OTAN – la première fois qu’un État membre tirait sur des appareils russes depuis le début du conflit. Varsovie a invoqué l’article 4 du traité de l’Atlantique Nord et le premier ministre Donald Tusk a déclaré que c’était « le moment le plus proche d’un conflit ouvert depuis la Seconde Guerre mondiale » reuters.com. Moscou a nié toute responsabilité et affirmé que ses drones s’étaient « égarés » lors d’attaques contre l’Ukraine. L’Ukraine, citant ses services de renseignement, a néanmoins affirmé que l’incursion visait à tester les défenses de l’OTAN et à exercer une pression politique sur le soutien occidental reuters.com.
  • 13 septembre – Survol de drones en Roumanie : un drone a pénétré l’espace aérien roumain pendant une attaque russe en Ukraine. Les avions roumains ont décollé en alerte et la loi permettant l’abattage de drones a été renforcée reuters.com. Plusieurs fragments de drones russes s’étaient déjà écrasés dans la région du delta du Danube.
  • 20 septembre – Violation de l’espace aérien estonien par des MiG‑31 : trois avions russes sont restés douze minutes dans l’espace aérien estonien. Tallinn a invoqué l’article 4 et qualifié l’incident « d’inédit et de provocateur » reuters.com. La Russie a nié l’intrusion.
  • 22 septembre – Prolifération de drones au Danemark et en Norvège : des drones non identifiés ont fermé temporairement les aéroports de Copenhague et d’Oslo. Les autorités danoises ont évoqué une attaque hybride et admis qu’elles manquaient d’équipements pour faire face ktep.org. Des hélicoptères ont également observé un navire d’assaut russe (classe Ropucha) naviguant à proximité de l’île danoise de Langeland, alimentant les soupçons de lancement à partir de la mer rferl.org.
  • 26 septembre – Réunion des ministres européens de la Défense : dix pays frontaliers de la Russie ou de l’Ukraine (Pologne, Finlande, États baltes, etc.) ont décidé d’accélérer la création d’un « mur de drones ». Le commissaire européen Andrius Kubilius a insisté sur la nécessité de passer des discussions aux actions concrètes. Il a souligné l’importance de doter la frontière orientale de capteurs de détection, de brouilleurs et d’armes. Il a estimé que la mise en place pourrait prendre un an rferl.org.
  • 27 septembre – Nouvelles intrusions : des drones ont de nouveau été observés au-dessus de bases militaires danoises, suédoises, finlandaises et lituaniennes rferl.org. L’OTAN a annoncé renforcer sa présence dans la région en déployant de nouveaux capteurs multinationaux et une frégate anti‑aérienne dans la Baltique reuters.com.

Nature des provocations russes

Drones et guerre du « gray zone »

La Russie s’appuie massivement sur des drones bon marché et sur des véhicules aériens improvisés pour saturer les défenses occidentales. Les objectifs semblent multiples :

  1. Tester et épuiser les systèmes de défense aérienne : l’incursion polonaise a forcé l’OTAN à employer des missiles coûteux pour détruire des appareils peu onéreux, un rapport que les experts jugeaient insoutenable à long terme cepa.org. Les services ukrainiens estiment que ces attaques cherchent à mesurer la réaction alliée et à inciter certains pays à freiner leur aide à l’Ukraine reuters.com.
  2. Créer la confusion et désorienter la population : au Danemark, la police a demandé à la population de signaler les drones et a fermé des aéroports civils. Les autorités ont reconnu ne pas disposer des équipements nécessaires et ont averti que le risque augmentait rapidement ktep.org. Le chef du renseignement danois a qualifié ces survols d’exemple classique d’action hybride visant à « créer la confusion » ktep.org.
  3. Détourner l’attention des revers en Ukraine : plusieurs analystes estiment que Moscou cherche à détourner l’attention de son incapacité à avancer en Ukraine. Le quotidien The Guardian a rappelé que ces incursions visaient à « tester la volonté politique et militaire de l’OTAN » theguardian.com.

Violations de l’espace aérien par des avions de chasse

Les intrusions de MiG‑31 en Estonie montrent une escalade supplémentaire. Rester plus de dix minutes dans un espace aérien souverain est un acte de provocation délibérée. L’OTAN a averti que de tels incidents pourraient se traduire par un abattage si les avions représentent une menace directe reuters.com.

Cyberattaques et sabotage

En parallèle, plusieurs aéroports européens ont été ciblés par des cyberattaques et des logiciels rançonneurs. Reuters décrit comment une panne informatique touchant Heathrow, Berlin et Bruxelles a coïncidé avec les survols de drones et a révélé la vulnérabilité du secteur aérien reuters.com. Les experts parlent d’une stratégie de « guerre hybride » qui combine drones, piratage et sabotage pour semer le chaos sans franchir la ligne rouge de la guerre ouverte reuters.com.

Réponses de l’OTAN et de l’Union européenne

Activation des mécanismes de l’OTAN

  • Article 4 du traité de l’Atlantique Nord : l’incursion en Pologne et le survol des MiG ont déclenché des consultations d’urgence. Cet article permet aux alliés de discuter des menaces et de renforcer la préparation, sans encore recourir à l’article 5 (assistance militaire) reuters.comeurointegration.com.ua.
  • Mission « Eastern Sentry » : l’OTAN a lancé une opération de vigilance renforcée dans la Baltique. Une frégate anti‑aérienne et des plateformes de surveillance supplémentaires ont été déployées pour surveiller les infrastructures sous‑marines et aériennes reuters.com.
  • Engagement politique : lors de l’Assemblée générale des Nations unies, plusieurs dirigeants ont prévenu que les violations répétées pourraient conduire à un conflit direct. La ministre britannique des Affaires étrangères, Yvette Cooper, a averti que les provocations russes risquaient de déboucher sur une confrontation armée et a réaffirmé que l’OTAN était prête à défendre chaque centimètre carré de son territoire reuters.com.

Initiatives européennes

  • Mur de drones (« drone wall ») : l’idée d’installer une barrière technologique sur la frontière orientale est devenue urgente. La Commission européenne et dix pays frontaliers ont convenu d’équiper la zone de radars, capteurs acoustiques, brouilleurs et armes antidrone fr.euronews.com. Le commissaire Kubilius a déclaré que les États devaient passer des discussions à l’action et que la détection serait la priorité ; un an serait nécessaire pour construire cette infrastructure rferl.org.
  • Renforcement des défenses anti‑aériennes : plusieurs pays ont révisé leur législation. L’Allemagne a annoncé qu’elle permettrait désormais à l’armée d’abattre des drones menaçants afin de protéger les infrastructures reuters.com. Le Danemark envisage d’autoriser les opérateurs d’infrastructures à neutraliser les drones par des moyens électroniques ou cinétiques ktep.org.
  • Aide à l’Ukraine : les alliés continuent de fournir des systèmes de défense comme les batteries Patriot. Berlin a confirmé la livraison de nouveaux systèmes, remplaçant ses propres stocks avec l’aide des États‑Unis reuters.com. L’Ukraine cherche à financer sept systèmes supplémentaires et estime le coût des interceptors à 6 milliards de dollars reuters.com. Zelensky et son gouvernement ont par ailleurs établi une liste de souhaits de 90 milliards de dollars d’armements, dont des drones, et espèrent convaincre Washington de financer l’achat direct de drones ukrainiens reuters.com.

Pression économique

Lors de son discours à l’Assemblée générale de l’ONU, l’ancien président américain Donald Trump, toujours influent dans le débat politique, a critiqué les alliés européens pour leur dépendance à l’égard de l’énergie russe et a exhorté l’Europe à « passer à l’action ». Il a souligné que même si l’UE a réduit son commerce total avec la Russie à 67,5 milliards d’euros (contre 257,5 milliards en 2021), ses importations de gaz naturel liquéfié (GNL) russe ont augmenté de 9 % en 2024 aljazeera.com. Trump a averti que de nouvelles sanctions ne seraient efficaces que si les pays européens suivaient les États‑Unis et a déclaré : « Europe a la guerre à sa porte ; elle doit intensifier ses efforts et cesser ce qu’elle fait» aljazeera.com.

Implications stratégiques

Escalade contrôlée et risque de dérapage

L’utilisation de drones et de violations d’espace aérien permet à Moscou de tester la tolérance au risque des pays occidentaux. Les opérations restent en dessous du seuil d’une attaque armée ouverte, limitant la possibilité de déclencher l’article 5. Toutefois, la répétition de telles actions augmente le risque d’erreur de calcul : un drone pourrait frapper une cible civile ou un avion pourrait être abattu accidentellement, déclenchant une spirale d’escalade. Les dirigeants européens reconnaissent ce danger ; la première ministre danoise Mette Frederiksen a qualifié ces intrusions de « plus grave attaque contre les infrastructures critiques danoises à ce jour rferl.org.

L’Union européenne face à ses vulnérabilités

  • Dépendance énergétique : malgré les sanctions, l’UE continue d’importer du GNL russe. Cette dépendance offre à Moscou un levier économique et complique l’adoption de sanctions énergétiques plus sévères.
  • Retards dans les projets de défense communs : de nombreux projets européens (Eurodrone, bouclier antimissiles) souffrent de lenteurs. Les experts du think tank CEPA ont averti que le succès du mur de drones dépendra d’une commande et d’un contrôle sécurisés et de l’intégration des leçons ukrainiennes cepa.org.
  • Pressions politiques internes : certains gouvernements, notamment en Hongrie ou en Slovaquie, affichent des positions ambiguës et critiquent les sanctions contre la Russie. Des campagnes de désinformation tentent de diviser les opinions publiques, par exemple en insinuant que les drones abattus en Pologne seraient une provocation ukrainienne eurointegration.com.ua. La polarisation intérieure complique la mise en œuvre d’une politique cohérente.

Renforcement de l’OTAN et élargissement

La crise a renforcé la cohésion transatlantique. La Finlande et la Suède ont adhéré à l’OTAN en 2024, portant le nombre de membres à 32 ; leur appartenance renforce la défense du flanc nord et met fin à des décennies de neutralité aljazeera.com. L’élargissement démontre que la stratégie de coercition de Moscou a produit l’effet inverse en poussant ses voisins à se placer sous le parapluie de l’Alliance.

Éléments à surveiller

  • Mise en place du mur de drones : les discussions de septembre 2025 doivent se traduire en investissements concrets. Les États devront financer des systèmes de détection, de brouillage et de neutralisation et les intégrer dans une architecture commune. Un échec retarderait la dissuasion et laisserait des failles exploitées par Moscou.
  • Évolution de la doctrine de l’OTAN : une question cruciale est de savoir à quel moment un drone ou un avion violant l’espace aérien deviendra une « menace existentielle » justifiant une riposte militaire. Une doctrine trop permissive pourrait encourager des provocations supplémentaires ; une doctrine trop rigide risquerait une escalade.
  • Maintien du soutien à l’Ukraine : malgré les tensions, l’aide occidentale reste essentielle. L’Ukraine mise sur l’acquisition de systèmes de défense et de drones et sur la création d’une « Drone Deal » avec les États‑Unis pour renforcer sa production domestique reuters.com. Les alliés européens doivent continuer à financer des batteries Patriot et des munitions afin d’assurer une défense en profondeur reuters.com.
  • Pression économique : si de nouvelles sanctions occidentales sont envisagées, elles devront être coordonnées pour éviter de nuire aux économies européennes déjà fragilisées. Les propos de Trump montrent que des pressions politiques s’exercent des deux côtés de l’Atlantique pour une ligne plus dure ; toutefois, l’UE reste dépendante de certaines importations russes aljazeera.com.

Conclusion

À la fin de septembre 2025, l’Europe se trouve à un moment critique. Les provocations de la Russie dans l’espace aérien et maritime européen, notamment via des drones et des avions de chasse, constituent la manifestation la plus grave de la guerre hybride depuis le début du conflit. Elles visent à tester la cohésion et la capacité de réaction des Européens et de l’OTAN. L’activation de l’article 4, le lancement de la mission Eastern Sentry et la décision de construire un mur de drones montrent que les alliés prennent ces menaces au sérieux. Cependant, la réalisation de ces projets dépendra de la volonté politique, du financement et d’une coopération transfrontalière sans faille.

La guerre en Ukraine a déjà transformé le paysage sécuritaire européen. Désormais, les bruits des drones et la peur d’une escalade balayent l’illusion d’une « paix » sur le continent. L’UE et l’OTAN doivent renforcer leurs défenses, réduire leur dépendance énergétique et rester unies pour dissuader toute attaque – au risque sinon de voir la guerre franchir leur porte.

Géopolitique

Trump et Musk : le duo improbable qui fait trembler le monde

Par Régis Ollivier, “La Brise et la Tempête” – Le 10 janvier 2025

Illustration ChatGPT pour lecolonel.net

Trump et Musk. Deux noms qui, à eux seuls, suscitent autant d’admiration que de crainte. Ils n’ont rien de la carpe et du lapin, encore moins de Laurel et Hardy, bien que leurs excentricités respectives puissent prêter à sourire. Mais ne nous y trompons pas : derrière leurs actes et leurs déclarations se cachent des ambitions bien plus redoutables.

L’un agit par vengeance, l’autre par ambition démesurée. Ensemble, ils pourraient devenir les maîtres d’un monde qu’ils bousculent déjà.

Trump : la revanche personnifiée

Donald Trump, l’ancien président des États-Unis, n’a jamais vraiment quitté la scène. Il reste une figure polarisante, incarnant à lui seul l’esprit de revanche. Ses discours populistes et ses coups d’éclat médiatiques donnent l’impression d’un éléphant dans un magasin de porcelaine : brutaux, impulsifs, mais terriblement efficaces.

Ce qui l’anime ? Une volonté farouche de régler ses comptes. Avec ses adversaires politiques, les médias, et même le système qu’il accuse d’avoir conspiré contre lui. Sa spontanéité n’est pas un hasard : elle est une arme, qui séduit autant qu’elle effraie. Trump est un symbole du chaos, et il en fait un levier de pouvoir.

Musk : l’ambition sans limites

À ses côtés, Elon Musk. Innovateur de génie, visionnaire… et imprévisible. Si Trump est un éléphant, Musk serait plutôt un Faucon Millenium prêt à bondir vers des territoires inconnus. Coloniser Mars, révolutionner les transports, transformer l’intelligence artificielle : Musk voit loin, très loin. Mais son ambition démesurée inquiète, car elle semble détachée des considérations éthiques ou humaines. Ses tweets impulsifs, ses provocations sur les marchés financiers ou ses prises de position politiques montrent qu’il agit souvent comme un joueur, plutôt qu’un stratège.

Un duo explosif

Trump et Musk, c’est le chaos allié à l’innovation. Leur spontanéité fait d’eux des figures redoutées. Trump mobilise des foules par les émotions ; Musk redéfinit les règles du jeu économique et technologique. L’un surfe sur la colère, l’autre sur la fascination. Et si leurs forces convergent, ils pourraient bien surpasser les institutions traditionnelles.

En poussant le trait, ils incarnent une nouvelle forme de pouvoir : celle où les égos, les réseaux et les technologies surpassent les États. Mais leur force est aussi leur faiblesse : leur imprévisibilité. Comme dans le duo Dr. Jekyll et M. Hyde, ce qui séduit peut aussi détruire.

Maîtres du monde ou illusion passagère ?

Reste une question fondamentale : jusqu’où peuvent-ils aller ? S’ils devenaient les “maîtres du monde”, ce serait par leur capacité à s’imposer en dehors des cadres établis, à jouer sur les peurs et les rêves d’un monde désorienté. Mais leur ascension interroge aussi sur nous-mêmes : sommes-nous prêts à confier les clés de l’avenir à des personnalités aussi déconcertantes ?

Le monde tremble, oui. Et à juste titre. Mais derrière les figures spectaculaires que sont Trump et Musk se cache un miroir. Celui d’une époque où le pouvoir ne repose plus sur les institutions, mais sur l’influence, la disruption et une spontanéité parfois terrifiante.

Alors, Dr. Jekyll et M. Hyde, ou Laurel et Hardy. Quelle est votre opinion sur ce sujet ? 

Sur un texte original de l’auteur 

Géopolitique

Ukraine : clap de fin difficile…

19 décembre 2024 – Par Pierre Duriot

La paix en Ukraine n’en finit plus d’être reportée, alors que la bataille est perdue pour Zélinsky et l’OTAN, ce qui n’est plus un secret pour personne. Mais non, la bande à Biden continue de jeter de l’huile sur le feu, tétanisée par la perspective de l’investiture de Trump et de ce qu’il pourrait trouver sur place et en fouillant dans les tiroirs. Alors cette équipe machiavélique et faiseuse de désordre a eu une dernière idée pour pousser Poutine à la faute et le décider à employer l’arme nucléaire, seule option qui permettrait de justifier de l’état de guerre et de rester au pouvoir, et encore.

L’Occident a enfreint les lois tacites de la guerre, qui veulent qu’on ne touche pas aux plus hauts dirigeants, en faisant assassiner le général Igor Kirillov. Car tout le monde a bien compris que l’expédition n’aurait pas été possible pour les services secrets ukrainiens, sans la logistique occidentale. Cette manœuvre désespérée pour déclencher le feu nucléaire de la part de Poutine, est évidemment vouée à l’échec. Il a bien d’autres ressorts pour répliquer, dans le cadre d’un conflit classique. Il peut prendre pour cible, lui aussi, une personnalité occidentale dans une base installée en Ukraine. Il peut aussi prendre directement Zélensky pour cible. Il peut encore rayer de la carte les infrastructures énergétiques, de communication ou de transport, dans toute l’Ukraine, ce qui plongera le pays dans le moyen-âge pour des années et générera un flot de réfugiés difficilement assimilable pour l’Europe.

Avec cet assassinat, l’Occident qui aurait pu espérer une paix équitable avec Poutine, se prive des cartes du dialogue. Zélensky veut des troupes au sol pour garantir la sécurité de son pays après la signature d’un accord de paix, l’OTAN ne les a pas et personne, à part Macron, hélas, n’a envie de se coltiner cette tâche. Il va donc falloir faire confiance à Poutine et en lui tuant ses généraux, c’est mal parti. Tout cela repose sur le fantasme d’un Poutine désireux de…

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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • Régis Ollivier
  • Lieutenant-colonel (TDM-ER). 43 années de service dont 25 ans au sein de la DGSE. 
  • Géopolitique et Relations Internationales. 
  • Candidat à la présidentielle 2022.
  • Né zèbre. Les zèbres sont des êtres d’exception.