Politique

Vœux 2025 : un message de résilience et d’espoir

Vœux 2025 : Un Message de Résilience et d’Espoir

Chers lecteurs et amis fidèles,

Alors que nous nous apprêtons à tourner la page de cette année, je tiens à vous adresser mes meilleurs vœux pour 2025. Cette transition est l’occasion de réfléchir sur les cycles de la vie, les défis qu’elle nous impose et les forces qu’ils révèlent en nous.

Cette année, je souhaite placer nos échanges sous l’égide de cette réflexion :

« Les temps difficiles créent des hommes forts. Les hommes forts créent les périodes de paix. Les périodes de paix créent les hommes faibles. Les hommes faibles créent les temps difficiles. »

En ces temps tourmentés, nous sommes nombreux à ressentir le poids des incertitudes. Pourtant, il est essentiel de ne pas céder au découragement. Les épreuves que nous traversons, aussi rudes soient-elles, portent en elles les germes d’un renouveau. Ce sont elles qui forgent la résilience, cette capacité à se relever, à se surpasser, et à construire un avenir plus stable et plus serein.

2025 sera ce que nous déciderons d’en faire. Ensemble, avec courage et lucidité, nous pouvons tracer un chemin fait de solidarité, d’audace et de clairvoyance. Je vous invite à cultiver cette force intérieure qui nous anime tous, même lorsque les vents contraires soufflent.

Que cette nouvelle année vous apporte l’énergie de bâtir, la sagesse de réfléchir et la sérénité d’apprécier chaque moment. Souvenez-vous : après la tempête, vient toujours le calme.

Avec toute ma gratitude et mon amitié,

Régis Ollivier

“Naviguer entre sérénité et turbulences : un autre regard sur le monde.”

Citation de Régis Ollivier
Politique

Vœux pour l’année 2025, à l’attention de l’Exécutif, des Parlementaires, du gouvernement, et des Corps Constitués

Vœux pour l’année 2025,
À l’attention de l’Exécutif, des Parlementaires, du gouvernement,
et des Corps Constitués

Mesdames, Messieurs,

Permettez-moi, fidèle à l’esprit d’honnêteté et de franchise qui caractérise l’institution militaire, de vous adresser ces vœux. En 2025, puissions-nous tous tirer les leçons des erreurs passées et ne plus laisser les appétits personnels et les ambitions démesurées primer sur l’intérêt de la nation.

Que cette nouvelle année soit l’occasion, pour vous, de prouver que le service de l’État n’est pas une simple posture, mais un engagement sincère et exigeant. Sachez que les Français, las d’années de désillusions, attendent bien davantage que des promesses : ils exigent des actes à la hauteur des défis.

Ainsi, que cette année vous soit propice à rétablir un lien de confiance et de respect avec le peuple. Si tel n’est pas le cas, que la lucidité et le poids des responsabilités viennent vous rappeler que nul n’est indispensable dans le marigot politique.

Avec la franchise que réclament ces circonstances,

Régis Ollivier

Version revue et corrigée par ChatGPT

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Ici la version originale, plus conforme à mon style :

Vœux 2025 à l’exécutif, aux parlementaires, au gouvernement,
et aux corps constitués. Dans l’ordre protocolaire.

« Vos gueules là-dedans !
Je vous souhaite, vil troupeau, en mon nom et au nom des Français malmenés depuis des décennies de ripailles gouvernementales, une bien vilaine année 2025. Foutez-vous en plein la gueule. Que la première bouchée vous régale, que la dernière vous étouffe afin de faciliter, par là, le jeu normal de l’avancement dans le marigot politique français. »

Interprétation libre du popotier

Citation Régis Ollivier
Société

Amour et paix, les deux mamelles de la France ?

Par Régis Ollivier – Le 26 décembre 2024

En cette période de trêve des confiseurs, où le monde semble suspendre son souffle, j’ai ressenti le besoin de m’exprimer une dernière fois pour cette année. Pas pour dénoncer ou pointer du doigt – nous savons tous que cela ne manque pas –, mais pour rappeler ce que nous pourrions être, ce que nous devrions être.

La France traverse des turbulences, c’est indéniable. Les fractures sociales s’élargissent, les rancœurs s’accumulent, et les discours s’enflamment. Dans ce contexte, le fameux “vivre ensemble” n’est plus qu’un slogan vidé de son sens. Ce que nous expérimentons au quotidien, c’est un “vivre avec” souvent forcé, tolérant à peine nos différences, et loin d’un véritable projet collectif.

Mais Noël nous enseigne une chose précieuse : après les ténèbres vient toujours la lumière. Ce moment de renouveau, de réflexion, est une invitation à réinventer notre vision de la société. Et si nous osions, pour une fois, faire d’amour et de paix les deux mamelles de la France ?

Amour et paix, une utopie ?

Certains diront que c’est naïf, presque risible, face aux défis colossaux que nous affrontons. Et pourtant, ce ne sont pas des concepts abstraits. Ils sont des choix. L’amour, c’est le refus de céder à la haine et à la division. C’est voir l’autre comme un allié potentiel plutôt qu’un adversaire. La paix, c’est comprendre que la confrontation permanente ne nous mènera qu’à la ruine, alors que le dialogue – si difficile soit-il – ouvre des chemins insoupçonnés.

Refuser la facilité de l’accusation

Quand tout va mal, il est tentant de chercher des boucs émissaires. Ce réflexe humain, vieux comme le monde, a conduit à certaines des pages les plus sombres de notre histoire. Aujourd’hui encore, il est trop facile d’accuser “les autres” – étrangers, élus, ou voisins – des maux qui nous frappent. Mais nous savons où cela mène. Diviser pour mieux régner est une recette usée. Il est temps de refuser ce piège.

Un choix pour demain

Le chantier est gigantesque, certes. Mais à l’instar des bâtisseurs qui, malgré les épreuves, ont entrepris de reconstruire Notre-Dame de Paris pierre par pierre, soyons les bâtisseurs de notre avenir et de celui des générations présentes et futures. Un chantier de cette ampleur demande du temps, du courage, et une vision commune. Mais surtout, il exige que chacun prenne sa part, à son échelle.

La période de Noël qui s’achève nous rappelle que les petits gestes peuvent changer le cours des choses. Et si nous commencions par là ? Par semer de l’amour dans nos échanges, par prôner une paix intérieure dans nos actions. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est tout.

Un message personnel

Je le dis sans détour : je déteste les guerres. J’en connais le prix, les souffrances, et les cicatrices qu’elles laissent sur les âmes. Je suis un homme de consensus, et je crois fermement que c’est dans l’union que réside notre force, même dans la tourmente.

Mais soyons clairs : jamais je ne tendrai la seconde joue. Car tendre la seconde joue, c’est cautionner l’injustice. Aimer et rechercher la paix ne signifie pas se laisser piétiner ou abandonner ses convictions. C’est défendre, avec fermeté et dignité, les valeurs qui nous unissent et les générations que nous préparons à affronter l’avenir.

Alors oui, battons-nous, mais pas contre nos semblables. Battons-nous pour une société qui a le courage de regarder ses problèmes en face sans se noyer dans la haine. Une société qui choisit l’unité dans la diversité.

Aux armes, citoyens, mais cette fois, brandissons l’amour et la paix comme nos étendards.

Je vous souhaite à tous une année 2025 éclairée par ces deux valeurs cardinales. Car il est grand temps.

Assistant IA : ChatGPT sur un texte original de l’auteur 

Géopolitique

Ukraine : clap de fin difficile…

19 décembre 2024 – Par Pierre Duriot

La paix en Ukraine n’en finit plus d’être reportée, alors que la bataille est perdue pour Zélinsky et l’OTAN, ce qui n’est plus un secret pour personne. Mais non, la bande à Biden continue de jeter de l’huile sur le feu, tétanisée par la perspective de l’investiture de Trump et de ce qu’il pourrait trouver sur place et en fouillant dans les tiroirs. Alors cette équipe machiavélique et faiseuse de désordre a eu une dernière idée pour pousser Poutine à la faute et le décider à employer l’arme nucléaire, seule option qui permettrait de justifier de l’état de guerre et de rester au pouvoir, et encore.

L’Occident a enfreint les lois tacites de la guerre, qui veulent qu’on ne touche pas aux plus hauts dirigeants, en faisant assassiner le général Igor Kirillov. Car tout le monde a bien compris que l’expédition n’aurait pas été possible pour les services secrets ukrainiens, sans la logistique occidentale. Cette manœuvre désespérée pour déclencher le feu nucléaire de la part de Poutine, est évidemment vouée à l’échec. Il a bien d’autres ressorts pour répliquer, dans le cadre d’un conflit classique. Il peut prendre pour cible, lui aussi, une personnalité occidentale dans une base installée en Ukraine. Il peut aussi prendre directement Zélensky pour cible. Il peut encore rayer de la carte les infrastructures énergétiques, de communication ou de transport, dans toute l’Ukraine, ce qui plongera le pays dans le moyen-âge pour des années et générera un flot de réfugiés difficilement assimilable pour l’Europe.

Avec cet assassinat, l’Occident qui aurait pu espérer une paix équitable avec Poutine, se prive des cartes du dialogue. Zélensky veut des troupes au sol pour garantir la sécurité de son pays après la signature d’un accord de paix, l’OTAN ne les a pas et personne, à part Macron, hélas, n’a envie de se coltiner cette tâche. Il va donc falloir faire confiance à Poutine et en lui tuant ses généraux, c’est mal parti. Tout cela repose sur le fantasme d’un Poutine désireux de…

lire la suite sur… https://lnkd.in/e_bz3X2x

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • Régis Ollivier
  • Lieutenant-colonel (TDM-ER). 43 années de service dont 25 ans au sein de la DGSE. 
  • Géopolitique et Relations Internationales. 
  • Candidat à la présidentielle 2022.
  • Né zèbre. Les zèbres sont des êtres d’exception.
Géopolitique

L’irrésistible déclin de la France sur la scène internationale : un constat amer

18 décembre 2024 – Régis Ollivier

Autrefois incontournable sur la scène mondiale, la France semble aujourd’hui s’engager dans une descente préoccupante. Ce déclin, particulièrement visible en Afrique, dépasse largement les frontières du Sahel pour toucher l’ensemble des domaines où elle exerçait son influence.

Au Tchad, pays clé des enjeux géopolitiques africains, l’autorité française autrefois respectée a vacillé. Exit Paris. Les acteurs locaux et régionaux, autrefois fidèles à Paris, se tournent désormais vers de nouvelles puissances : la Chine, la Russie ou encore les États-Unis. Pendant que ces nations renforcent leur présence, la France, engluée dans ses débats internes, peine à redéfinir sa stratégie sur le continent.

Ce recul dépasse le simple prisme africain. Il reflète une perte plus profonde de crédibilité. Les attentes des populations locales, avides d’émancipation et de souveraineté, se heurtent aux stigmates d’une présence jugée trop paternaliste, parfois accusée de néocolonialisme. Là où la France entendait promouvoir des valeurs démocratiques et le développement, elle est désormais perçue comme une force intrusive, en décalage avec les aspirations des peuples.

Ce désaveu, toutefois, ne s’arrête pas à l’Afrique. Il s’inscrit dans une tendance mondiale de remise en question du rôle de la France, affaiblie diplomatiquement, économiquement et militairement. En Europe, le Brexit, les tensions internes à l’Union et la montée des nationalismes réorganisent le jeu géopolitique. Sur la scène globale, l’essor de puissances comme la Chine ou l’Inde redessine les équilibres au détriment des anciennes puissances occidentales.

Sur le plan économique, la situation est tout aussi préoccupante. Face à des concurrents dynamiques et innovants, l’Hexagone peine à maintenir sa compétitivité. Les politiques économiques, souvent jugées trop conservatrices ou court-termistes, freinent l’investissement dans les secteurs stratégiques de demain. Conséquence : un exode massif des talents vers des horizons jugés plus prometteurs.

Même l’image culturelle et symbolique de la France, longtemps source de fierté, se fragilise. Les crises sociales, les divisions identitaires et les tensions sur des sujets comme la laïcité entachent le rayonnement de ses valeurs. Ce qui se voulait un modèle démocratique et universel apparaît de plus en plus fracturé, affaiblissant son attractivité.

Ce déclin n’est pourtant pas une fatalité. Il pourrait devenir une opportunité de transformation profonde. Pour cela, la France doit abandonner une posture paternaliste et investir dans des partenariats fondés sur l’écoute et le respect mutuel. Sur la scène internationale, il ne s’agit plus de donner des leçons, mais de construire des alliances sincères et équilibrées.

Cependant, encore faut-il que la France trouve les hommes et les femmes politiques capables de mener ce chantier d’envergure. L’impérative refondation du pays exige une vision forte, un courage à toute épreuve et une volonté de rupture avec les pratiques du passé. Sans leadership éclairé, cette renaissance restera lettre morte, et la France continuera de s’enliser dans un monde où les places se gagnent à la force de la stratégie et de l’audace.

  • Régis Ollivier
  • Lieutenant-colonel (TDM-ER). 43 années de service dont 25 ans au sein de la DGSE.
  • Géopolitique et Relations Internationales.
  • Candidat à la présidentielle 2022.
  • Né zèbre. Les zèbres sont des êtres d’exception.